Il y a tout d'abord cette couverture chatoyante, lumineuse, attirante.
Il y a aussi la ville d'Istanbul.
Et il y a ensuite toute une galerie de portraits tous aussi déjantés les uns que les autres : Mme Tijen, obsédée de propreté qui jette par la fenêtre tout objet qui lui parait contaminé, la Maîtresse Bleue, entretenue par un riche négociant, Nadja, la femme au foyer battue et trompée... et surtout les jumeaux coiffeurs Djelal et Djemal chez qui tout le monde se retrouve pour changer de tête et se raconter les derniers ragots.
Malgré ce scénario alléchant, ce livre est assez 'irrégulier' : des anecdotes que l'on lit d'une traite alternent avec des longueurs descriptives qui donnent souvent envie d'arrêter la lecture.
Je ne m'avoue pas vaincue, je tenterai de la même auteure 'La batarde d'Istanbul' trés prochainement....
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