La fille qui rit, rit d'un rire nerveux, d'un rire de douleur, de souffrance.
Elle ne maîtrise rien de ses fous rires 'intempestifs' dont le premier a eu lieu le jour de l'enterrement de son jumeau ; juste devant la tombe à peine refermée.
La fille qui rit, rit pour se protéger.
Alors pour essayer de se maîtriser, l'esprit de Louise bouillonne, les mots s'entrechoquent dans sa tête, les idées fusent et se dispersent.
Un roman, à la psychologie exigeante, sur la mort mais aussi sur l'amour.
Mais un petit roman sûrement trop court : j'aurais bien aimé passer un peu plus de temps avec Louise.
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