Je triche un peu.
Je suis toujours dans le même bouquin que mardi dernier.
Alors, je retourne le livre, je compte 31 pages en partant de la fin et, comme je triche encore un peu plus, au lieu de mettre une seule phrase, je prend carrément un extrait (tant qu'à tricher, autant ne pas le faire à moitié) :
"Je n'ai plus peur, je ne suis plus fébrile. Je m'agenouille au pied d'un olivier et je pose le dernier doigt de Cullaccio. Je le pose là, dans la terre de Calena, pour que mon père le sente et s'en réjouisse.[...]Qu'il sache que son fils était devenu un homme et qu'il se chargeait de solder les vieilles vengeances"
La porte des enfers / Laurent Gaudé
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