Mais ce confort s'effrite par petites touches successives : ces cauchemars qui le hantent, ce premier chapitre du roman de Léo qu'il est censé lire et commenter, ce jeune couple de SDF qu'il souhaiterait mieux aider et surtout toutes ces pensées sur sa mort prochaine.
On s'attache à ce personnage avant qu'il ne nous agace franchement. Millefeuille ne cesse de penser, de commenter ses pensées, de penser qu'il pense trop ou de se demander à quoi il est en train de penser....
Bref , un roman singulier par la forme et l'écriture intimiste (faut bien lui reconnaître cette qualité !) mais un roman dont je ne garderai pas un souvenir impérissable.
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