Comme d'habitude la collection Court Métrage, nous percute de plein fouet en quelques pages. Le malaise ici se ressent dés la couverture où un paravent baigne dans une mare de sang.
Violence du thème ; violence des mots pourtant apaisés par la description d'une Chine magnifique où l'imagination de la narratrice s'évade pour lutter contre les cris d'une violence conjugale.
Si les chapitres alternent entre réalité quotidienne et rêve d'ailleurs, malgré tout la tension monte... jusqu'à l'insupportable.
Un roman presque trop court, mais qui n'en est pas pour le moins bouleversant, sur un thème si délicat.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire