Parce qu'elle ne veut pas de la compassion de la part des autres, qu'elle veut éviter de devoir parler du drame qui l'affecte, Laurel fait sa rentrée dans un nouveau lycée.
Mais très vite, un devoir d'expression écrite imposé par sa prof d'anglais pousse Laurel a se dévoiler peu a peu.
Si en apparence elle se mure dans le silence, qu'elle se force a se taire ; les lettres qu'elle rédige sont comme un exutoire : toutes adressées a des artistes décédés, elles lui permettent d'exorciser sa peine, sa culpabilité et sa souffrance.
Tant de choses a dire sur ce livre, sans vouloir trop en dire !
Et si la première partie traîne parfois en longueur, quand la vérite éclate, on a entre les mains une histoire intense et bouleversante.
On vibre avec Laurel, qui sans cesse se met en danger.
On pleure avec Laurel, dont la voix nous emporte dans une souffrance immense.
On réfléchit avec Laurel, dont de nombreux secrets se posent comme des questions philosophiques.
On vit avec Laurel, en espérant qu'elle survive.
Quel roman ! A la fois troublant, captivant, poignant et lumineux !
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