17 mars 2013

La prophétie de Venise / Moka. Play Bac, 2012

Il y a seize ans, la nuit de Noël, 12 ados ont été assassinés  à Venise.
Parmi eux, Blandine, dont le grand père souhaite lever le voile et relancer l'affaire en engagant le détective Maxime Delancourt. 
Trés vite, des liens étroits apparaissent entre ces assassinats,  les années bisextiles à treize lunes et les 12 signes du zodiaque.
Année 2012, fin du monde annoncée dans le calendrier Maya, même conjoncture céleste : et si tout recommencait ?
 
Le duo que forme Maxime et son fils Lubin (bien heureux de sortir de son quotidien,) fonctionne bien du début à la fin.
Toutefois certains dénouements sont un peu attendus et stéréotypés, et j'ai parfois sombré dans une certaine lassitude en tournant les pages. Ben, oui, Maxime se rend sur l'île de Murano, il n'y a qu'une personne sur l'île et c'est pile poil celle qu'il voulait voir. Facile, hein ?

Mais bon, si l'on outrepasse ces détails, l'histoire est bien menée.
Un roman plaisant sans être, à mon avis, indispensable. 

(A priori, c'est le tome I de la série "Dancourt & fils, détectives", ..... à suivre, donc)
 
 
 

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